Pour la 46° fois, le ZOLA accueille le Festival du Film court, une des plus grandes manifestations du genre, après Clermont !
Comme chaque année, la concurrence sera vive puisque 39 films courts sont en lice dans la compétition internationale et dix dans la compétition animation . Soit 6 séances pour la compétition .
Il faut ajouter des rencontres et séances spéciales : un « before » avec blindtest au Ninkasi Gratte-Ciel le 10/11 à 19 h, les traditionnelles soirées d’ouverture ( « Du court au Long », mardi 11/11 à 19 h ) et de clôture samedi 15 à 19 h ( remise des prix et une avant-première ),des séances spéciales (« Femme, Vie, Liberté » le 13 à 16 h, « Focus Palestine » le 15 à 15. H, « Court-tease moi » le 16 à 15 h et intégrale des films primés le 16 à 17 h 30 ) et aussi des « classes de maître »: « Créer un Collectif » 12 novembre à 10 h 30 au Pôle Pixel et « Du court au long » le 14 à 16 h , au lycée Brossolette, séance réservée aux scolaires . Sans oublier une « Une rencontre avec les cinéastes » le 15 à 11 h . Sauf mention contraire, ces activités ont lieu au Zola, les animations et « classes de maître » sont gratuites.
Mais ce n’est pas tout ! On aurait garde d’oublier les activités pour la jeunesse : un atelier « Doublage » (12/11 à 15 h ( sur réservation)), des séances scolaires et le fameux «Ciné doudou », pour les tout-petits qui, chaque année, refusent du monde ! (dimanche 16 à 10 h 30 )
Et aussi, un peu comme un festival off, « Les Imaginaires du court », deux séances la première s’inscrivant dans le cadre du « festival du cinéma émergent de la métropole » (vendredi 7/11 à 18H45), la deuxième donne là voir les réalisations des jeunes concurrents du « Challenge Rushes Hour » (le 23 novembre à 18H30).
Enfin, le festival se déplace « Hors les Murs », à la MLIS (Maison du Livre de l’Image et du Son) mercredi 5 (14H30 Cinebananes, à partir de 4 ans) // samedi 8 novembre 15H et 16H : Courts du réel) et au Rize (16H le 15/11 « 130 ans de cinéma ») et à l’Aquarium Ciné-Café le 17 à 20H30 pour la reprise du a.
Jean-François Martinon